La damnée
aux reflets froids et graves
comme autant de souvenirs
qui me hantes et me font soufrir
Sur les mur de ma celule
surgissant du passé
amants et maitresses
jeunes et trépassés
Tant de corps serrsé dans mes bras
de cous… dans mes mains
étreints puis abondonnés,
oubliés, au lendemain
Damnée
damnée et condamnée
entre quatres murs capitonnés
Damnée
damnée, abandonnée
jetée en pature aux fous alliés
Ils se jettent sur moi
Ces fantomes d’autrefois
assoifés de vengeance
ils me trainent a la potence
Mais dans tout mes délires
si toujours ils me reviennent
moi, je peux les maudire
moi qui pourtant les aime
Damnée
damnée et condamnée
entre quatres murs capitonnés
Damnée
damnée, abandonnée
jetée en pature aux fous alliés
Damnée
damnée et condamnée
a la folie, a perpetuité
Damnée
damnée, abandonnée
jugée,linchée puis oubliée